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lundi 21 février 2011

Artmys voyage


Ce qui nous pousse à voyager :

Regarder dehors, penser qu’ailleurs est plus vert, plus chaud, plus beau… le Top, quoi ! Les lucarnes des siècles précédents se sont élargies. Ailleurs est accessible partout : par l’image, les sons, les coutumes, les odeurs et les mots. Mais bouger et aller voir sur place, c’est quand même autre chose ! Si le meilleur de l’amour est en montant des escaliers, le meilleur du voyage est dans l’avion qui nous mène à destination. Là, les rêves qui nous traversent l’esprit achèvent de prendre forme. Et cette transhumance éphémère nous met déjà en joie, car elle est une rupture salutaire du quotidien. Voyager, c’est finalement exiger de vivre et se ressourcer. Une condition sine qua none pour continuer à respirer.

Aller voir ailleurs si j’y suis :

Tout serait dans la formule : aller voir ailleurs si j’y suis, et surtout, foutez-moi la paix dans mon pré carré ! Certains croient que l’Ailleurs est désirable parce que différent. Les aventuriers de tous poils, les séducteurs narcissiques, les mal-dans-ma-peau et autres quêteurs de succès faciles sont candidats à l’escapade. Sont-ils les seuls ? Non, les touristes de masse, les cohortes de nos seniors argentés, en mal d’occupation et en soif de découverte, sont aussi de la partie. Tout le monde a des raisons d’aller voir ailleurs. Et quelle liberté pense-t-on alors avoir touché du doigt ? Pas besoin de la mélancolie de Baudelaire pour répondre à une invitation au voyage ; l’envie est là, la soif de voir et d’exister, partout, de toucher, de sentir ces autres morceaux de vie terrestre. C’est dans les gènes, et partir pour approfondir la quête de soi-même fait partie de chacun. Cambronne s’est trompé : on nous fait apprendre son « Merde ! » par le plus littéraire « j’y suis, j’y reste ! ». Mais non, notre vérité est plutôt est nettement dans « j’y suis, j’irai, et j’en vivrai ». Voyage, quand tu nous tiens,…

vendredi 11 février 2011

Avant qu'elle s'appelle Marilyn






elle était Norman Jeane. Un photographe hongrois, André de Dienes, tombe fou amoureux d'elle alors qu'elle a 19 ans. Il l'appelait " mon ravissant lapin de Pâques". Ensemble ils partent dans l'Ouest pour un "road photography" retracé dans un livre émouvant publié chez Taschen. Plus tard, il deviendra un ami fidèle, et l'accompagnera jusqu'à la fin.
Même si on a été assailli par l'iconographie de Marilyn Monroe, ce livre est une merveille. C'est un beau témoignage d'amour et d'amitié qui donne une dimension nouvelle à l'actrice la plus aimée au monde. Plus d'une vingtaine de visuels rend hommage à la divine Marilyn sur notre site Artmys.