Rechercher dans ce blog

mardi 26 avril 2011

Une affiche géante poilante




Une affiche géante sur le mur d'un immeuble à New York, vous allez me dire qu'il n'y a rien de fantastique. Mais là où c'est complétement fou, c'est qu'elle est interactive. L'Agence de Publicité de Gillette a eu l'idée de génie de mettre en scène le rasage quotidien du basketteur Derek Jeter. Chaque jour l'affiche est repeinte simulant les différentes étapes du rasage.


A défaut de proposer des affiches à la dimension gigantisme de New York, Artmys vous invite à visiter sa galerie d'affiches grand format conçues à la dimension de votre salon ou de votre chambre. De quoi s'immerger dans des ambiances pleine de sérénité.

mercredi 13 avril 2011

On aime l'univers de Philippe Cabanel

Envie de pique-niquer au milieu d'un champ de coquelicots ?


Je suis très heureuse de vous présenter l'incroyable talent de Philippe Cabanel, photographe d'une Nature vibrante et mystérieuse. Asseyons nous au milieu d'un champ de coquelicots et écoutons le - rencontre avec un poète-photographe.

" Je suis né au coeur de la Lozère, sur les bords du Tarnon, au pays des Causses et des châtaigniers. C'est de là que me vient le goût du silence et des grands espaces. A onze ans, mon père m'offre mon premier appareil photo. J'étais fier et depuis ce jour il ne m'a plus quitté. Je suis un solitaire et depuis l'enfance passionné par le monde animal. La photo naturaliste me donne l'occasion d'affirmer ce que j'aime le plus au monde. J'aime marcher entre monts et vallées, saisir la beauté du papillon, capter la fragilité du coquelicot, dévoiler les multiples facettes des couleurs de l'eau sur la roche.
La photographie est un troisième œil avec lequel je regarde le monde autrement. Avec elle j'ai appris la patience, l'humilité. Elle me donne l'occasion de vous faire partager la beauté, la poésie de ces instants fragiles et si fugaces que je tente de rendre immortels."

Je vous invite à visiter sa galerie de photo pour une parenthèse enchantée et vous promets que vous ne verrez plus les toiles d'araignées de la même façon. Oui, oui!!!

Artmys

vendredi 1 avril 2011

Artmys aime les poissons d'avril!!!!

Mais alors d'où vient cette semi-fête aux canulars en tout genre! Il semblerait qu'avant 1564, l'année commençait le 1er Avril mais rien n'est sûr. Et puis Charles IX en décida autrement et imposa le début de l'année le 1er Janvier. Pour protester contre cette décision, le peuple décida de faire la fête ce jour-là en faisant des farces.
En tout cas, je sais que les poissons ça portent bonheur, ils sont symbole de vie et de fécondité. Ils sont emblématiques dans la Bible.
Je me souviens de ma tantine qui disait " 5 poissons sur ta tête" en ouvrant la main et en la faisant tourner sur moi quand il m'arrivait quelque chose de bien où que quelqu'un venait de me faire un compliment, ça devait repousser les mauvais esprits!!!
En ce premier Avril, Artmys voulait vous présenter ses quatres petits poissons d'eau douce à accrocher sur vos murs pour une déco très originale qui portera bonheur à votre nid d'amour.

mardi 15 mars 2011

Artmys et les papillons


Minute Papillon - pourquoi nous aimons tant les papillons? A sa simple vue...le temps suspend son vol. C'est comme un cadeau éphémère que nous offre Dame Nature. Si je m'écoutais je m'élancerai derrière lui pour le rattraper mais il restera toujours hors de portée, indifférent à ma poursuite.
Je papillonne, tu papillonnes, nous papillonnons !!!??? Il faut bien l'avouer que cela nous arrive de temps en temps. A en croire le dictionnaire, la définition du papillonnage, c'est passer d'une chose à l'autre, d'une personne à l'autre, sans s'attarder sur aucune. Le papillon que nous sommes serait inconstant, volage, limite sans cervelle!!! Non!
Après les chasses aux papillons de notre enfance, puis la transformation de la chenille au beau papillon, nous sommes devenus de jolis papillons de nuit qui ramenaient parfois des papillons noirs à la maison, puis nous avons attrapé un autre papillon avec notre filet à papillons. Depuis, nous nous efforçons de garder sa légèreté.
J'attends l'effet papillon de cet article sur le papillonnage.
En attendant, venez butiner dans ma collection de papillons, à défaut de les attraper, mettons les sur nos murs.
Artmys
Même pour le simple envol d'un papillon tout le ciel est nécessaire.

jeudi 10 mars 2011

Artmys : Le vintage selon Mandy Lynne







Regarder les photos de Mandy Lynne c'est se souvenir de notre enfance avec ce halo de lumière si particulier. C'est plonger dans une aquarelle aux couleurs bleus et roses des années 60.
Elle sait capturer avec son filet à papillons ces doux moments de bonheur perdus.
Je vous invite à découvrir son blog où l'on regrette de ne pas s'être mariés dans le Middle West.
Découvrez sa collection sur notre site Artmys, des douceurs à s'offrir aux yeux.

lundi 21 février 2011

Artmys voyage


Ce qui nous pousse à voyager :

Regarder dehors, penser qu’ailleurs est plus vert, plus chaud, plus beau… le Top, quoi ! Les lucarnes des siècles précédents se sont élargies. Ailleurs est accessible partout : par l’image, les sons, les coutumes, les odeurs et les mots. Mais bouger et aller voir sur place, c’est quand même autre chose ! Si le meilleur de l’amour est en montant des escaliers, le meilleur du voyage est dans l’avion qui nous mène à destination. Là, les rêves qui nous traversent l’esprit achèvent de prendre forme. Et cette transhumance éphémère nous met déjà en joie, car elle est une rupture salutaire du quotidien. Voyager, c’est finalement exiger de vivre et se ressourcer. Une condition sine qua none pour continuer à respirer.

Aller voir ailleurs si j’y suis :

Tout serait dans la formule : aller voir ailleurs si j’y suis, et surtout, foutez-moi la paix dans mon pré carré ! Certains croient que l’Ailleurs est désirable parce que différent. Les aventuriers de tous poils, les séducteurs narcissiques, les mal-dans-ma-peau et autres quêteurs de succès faciles sont candidats à l’escapade. Sont-ils les seuls ? Non, les touristes de masse, les cohortes de nos seniors argentés, en mal d’occupation et en soif de découverte, sont aussi de la partie. Tout le monde a des raisons d’aller voir ailleurs. Et quelle liberté pense-t-on alors avoir touché du doigt ? Pas besoin de la mélancolie de Baudelaire pour répondre à une invitation au voyage ; l’envie est là, la soif de voir et d’exister, partout, de toucher, de sentir ces autres morceaux de vie terrestre. C’est dans les gènes, et partir pour approfondir la quête de soi-même fait partie de chacun. Cambronne s’est trompé : on nous fait apprendre son « Merde ! » par le plus littéraire « j’y suis, j’y reste ! ». Mais non, notre vérité est plutôt est nettement dans « j’y suis, j’irai, et j’en vivrai ». Voyage, quand tu nous tiens,…

vendredi 11 février 2011

Avant qu'elle s'appelle Marilyn






elle était Norman Jeane. Un photographe hongrois, André de Dienes, tombe fou amoureux d'elle alors qu'elle a 19 ans. Il l'appelait " mon ravissant lapin de Pâques". Ensemble ils partent dans l'Ouest pour un "road photography" retracé dans un livre émouvant publié chez Taschen. Plus tard, il deviendra un ami fidèle, et l'accompagnera jusqu'à la fin.
Même si on a été assailli par l'iconographie de Marilyn Monroe, ce livre est une merveille. C'est un beau témoignage d'amour et d'amitié qui donne une dimension nouvelle à l'actrice la plus aimée au monde. Plus d'une vingtaine de visuels rend hommage à la divine Marilyn sur notre site Artmys.